Quatre nouveaux TZCLD en Loire-Atlantique
25 Avril 2025
Publié au Journal officiel du 23 mars 2025, le décret en Conseil d’État n°2025-262 habilite huit nouveaux territoires à entrer dans l’expérimentation Territoires zéro chômeur de longue durée (TZCLD) dont quatre territoires en Loire-Atlantique :
- Bottière - Pin Sec et Nantes Est pour le Droit à l’Emploi (Loire-Atlantique)
- Loire-Auxence (Loire-Atlantique) ;
- Rezé (Loire-Atlantique) ;
- Plessé (Loire-Atlantique).
A l’occasion de la semaine européenne pour l’emploi des personnes en situation de handicap (SEEPH) 2024, l’association s’était penchée sur l’inclusion professionnelles des personnes en situation de handicap à travers l’expérimentation TZCLD. Fin 2024, dans les entreprises à but d’emploi (EBE), la part des personnes en situation de handicap embauchées était en moyenne de 24%[1] . L’association TZCLD explique ce taux élevé par :
- Une démarche expérimentale d’embauche sans sélection et d’adaptation de l’emploi à la personne permettant de valoriser une diversité de profils ;
- Une sensibilisation au handicap en continu de toutes les parties-prenantes et partenaires territoriaux ;
- La présence d’un référent handicap au sein de l’association TZCLD et de façon plus globale une démarche pro-active pour repérer les situations de handicap et mettre en place un accompagnement adapté ;
- Au niveau des structures, l’association et son partenaire Agefiph encouragent la mobilisation de l’offre de services de l’Agefiph par les EBE et la mise en place de référents handicap.
Un groupe de travail constitué de l’association TZCLD, l’Agefiph, l’APF France Handicap, Andicat, Réseau Gesat, Unapei a été mis en place et devrait aboutir à la production d’une note de capitalisation des coopérations locales avec les acteurs du handicap dans les territoires cette année.
Pour en savoir plus : https://www.tzcld.fr/emploi-des-personnes-en-situation-de-handicap-lexperimentation-tzcld-offre-une-reelle-egalite-des-chances/
[1] En novembre 2024, 729 personnes en situation de handicap avaient été embauchées dans les EBE depuis le début de l’expérimentation